D’où vient ta fripe ? Sur les réseaux sociaux, la seconde main se déballe

De plus en plus, les friperies posent chez leur grossiste. Quant aux particuliers, ils se filment en train d’ouvrir leur colis Vinted. Les influenceurs emmènent chiner leur communauté. Le « d’où vient ta fripe » s’affiche sur les réseaux sociaux.
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Photos d’entrepôt, haul et virée Emmaüs sur les réseaux sociaux, la provenance de la fripe devient un contenu à part entière. Influenceurs, friperies, clientèle : tous s’en emparent. Chaque mois, on en parle dans la Revue des réseaux sur CM-CM.fr.
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La seconde main voyage en ligne

Derrière ces images : recherche d’authenticité, effet de mode, besoin de transparence. Et, parfois, une narration bien rodée. Car la fripe voyage. Et ce voyage, les friperies comptent bien le transformer en valeur ajoutée.

C’est l’un des sujets qui sera abordé lors de la rencontre "D’où vient ta fripe", organisée autour du livre L’envers des fripes (Premier Parallèle) de l’autrice Emmanuelle Durand. L’événement aura lieu le 3 avril à Nantes, à l’initiative du collectif Bouge ta fripe, dans le cadre du Festival Deux mains.

À ses côtés, Clémence Aulas, rédactrice pour CM-CM.fr, interviendra sur la manière dont la fripe s’affiche aujourd’hui sur les réseaux sociaux : pourquoi se filme-t-on dans l’ouverture des colis ? Comment les friperies construisent leur image en ligne autour de la provenance de leurs produits ? Quelle place prend le storytelling dans ce nouveau paysage ?

Autres intervenants autour de la table : Idris Carlier, fondateur de Dernière Main, et Noémie d’Aya Friperie partageront leur expérience de terrain.
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Infos pratiques

Événement : D’où vient ta fripe ?
Date : Jeudi 3 avril 2025
Heure : 17h00
Lieu : Bouge ta Fripe – 13 Quai de Versailles, Nantes
Gratuit sur inscription ici‍‍

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Illustration
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A gauche : Cent Neuf, "Suivez Julie en mission lors d'une journée sourcing"
Au milieu : Love and dress, en mission "chinage" à Naples
A droite : Bichette Kids, "30 kilos que j'ai chiné chez mon fournisseur le mois dernier"

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Voir aussi : "Je n’achète pas de la seconde main pour l’écologie" : 5 actualités des réseaux sociaux